Cet article est initialement paru sur The Conversation. Il a été écrit par Pascal Lardellier, professeur à l'Université de Bourgogne France-Comté, Chercheur à Propedia (Groupe IGS, Paris), Université Bourgogne Franche-Comté (UBFC).
Regain festif et païen pour les uns, cheval de Troie de « l’impérialisme culturel américain » pour les autres, cette célébration paganiste ne laisse pas indifférent. L’Église catholique, émue de « l’influence néfaste » de la bacchanale, a même créé « Holyween » (soirée de prières en réaction), afin de donner un coup de balai aux histoires de sorcières.
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— Norfolk Music Hub Sun May 17 11:00:51 +0000 2020
Le premier intérêt d’Halloween, c’est la pluralité d’analyses auxquelles ce « néo-rite païen » donne lieu.
Halloween marque le retour de « vieilles lunes » et de fêtes oubliées, ou qui étaient simplement en sommeil… attendant qu’on les exhume en quelque sorte. Ses origines sont tout à la fois celtiques et mexicaines. A l’origine, la même volonté de célébrer les morts, et de manifester aussi sa peur conjuratoire, avant d’entrer dans l’hiver et le cycle des nuits courtes, période anxiogène s’il en est.
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