Les Écossais devront peut-être continuer à porter des masques faciaux pendant des années, prévient Nicola Sturgeon

Les ÉCOSSES pourraient devoir continuer à porter des masques dans les espaces publics pendant de nombreuses années, a déclaré Nicola Sturgeon.

Le Premier ministre a suggéré que les couvre-visages seraient le prix à payer pour lever d’autres restrictions et vivre avec Covid.

Sa position contraste fortement avec celle de Boris Johnson, qui veut commencer à lever les trottoirs en Angleterre d’ici la fin de ce mois.

Le chef du SNP a introduit des mesures beaucoup plus sévères contre les Écossais dans la bataille contre Omicron.

Ils incluent la distanciation sociale dans les pubs et les restaurants, la fermeture des discothèques et une limite de 500 personnes lors des matchs de football.

Elle affirme que cette décision a contribué à arrêter le virus, même si les taux d’infection de l’Écosse sont plus élevés que ceux de l’Angleterre.

Et le Premier ministre subit une pression croissante pour assouplir les restrictions et aligner son approche sur celle du Premier ministre.

Les patrons de l’hôtellerie lui ont dit de mettre fin à son « pari » sur des restrictions plus sévères qui frappent les entreprises.

Ils disent que les mesures, introduites le lendemain de Noël, n’ont fait « aucune différence significative » dans la propagation d’Omicron.

De nombreux jeunes Écossais se sont simplement rendus en Angleterre pour célébrer le Nouvel An dans des pubs et des clubs.

Mme Sturgeon devrait lever les restrictions sur les événements en plein air comme les jeux sportifs lorsqu’elle mettra à jour Holyrood cet après-midi.

Mais elle est sur le point de maintenir des mesures punitives en place pour les lieux intérieurs comme les bars et les restaurants.

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Et avant l’annonce, elle a suggéré des masques : pourraient être nécessaires à plus long terme pour nous permettre de vivre avec » Covid.

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— Palinterest Fri Jun 25 11:30:10 +0000 2021

Elle a déclaré à STV : « Parfois, lorsque vous entendez des gens parler d’apprendre à vivre avec Covid, ce qui semble être suggéré, c’est qu’un matin, nous nous réveillerons et n’aurons plus à nous en soucier, et que nous n’aurons rien à faire pour essayer pour le contenir et le contrôler.

« Ce n’est pas ce que je veux dire quand je dis apprendre à vivre avec. Au lieu de cela, nous devrons nous demander quelles adaptations à la vie pré-pandémique.

« Les couvre-visages, par exemple, pourraient être nécessaires à plus long terme pour nous permettre de vivre avec avec beaucoup moins de mesures de protection. »

Des restrictions « nuisibles » aux entreprises

Ses remarques sont intervenues alors que les chefs d’entreprise écossais ont averti que les restrictions de Covid faisaient « d’énormes dégâts » à certains secteurs.

Aberdeen et la chambre de commerce de Grampian ont constaté que les deux tiers des patrons pensent que les mesures de l’Écosse ne sont plus proportionnées.

Et plus de deux entreprises sur cinq là-bas préviennent qu’elles doivent réduire leurs effectifs si les restrictions restent en place.

Le directeur des politiques de l’AGCC, Ryan Crighton, a déclaré : « Le Premier ministre doit annoncer la fin de ces restrictions dommageables cette semaine.

« Ne pas le faire met la survie même de nombreuses entreprises en danger et des emplois en jeu. »

Le chef des conservateurs écossais, Douglas Ross, a également exhorté Mme Sturgeon à fournir « un peu de lumière au bout du tunnel » en publiant un calendrier hors verrouillage.

Boris Johnson espère commencer à lever les restrictions du Plan B en Angleterre lors de leur examen le 26 janvier.

Le ministre de la Santé, Ed Argar, a déclaré aujourd’hui: « Nous avons vu ces derniers jours ces cas, en particulier à Londres, commencer à se stabiliser et à baisser et les hospitalisations commencer à ralentir.

« Il est absolument vital que dès que nous pouvons le faire en toute sécurité, dès que nous sommes en mesure de le faire, nous assouplissons ces restrictions.

« Par exemple, travailler à domicile ou autrement, et essayer de ramener notre société à la normale alors que nous apprenons à vivre avec ce virus. »